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Ô Ratigan !

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Invité

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Invité


Ô Ratigan ! Vide
MessageSujet: Ô Ratigan ! Ô Ratigan ! EmptyVen 10 Sep - 19:42


    Ô Ratigan ! 100911022122691256
    © – Ian Somerhalder

    Ô Ratigan ! 100911022218626584
    © Maquizz


      Axel Adam
      BLOWN 24 ans

    ~ Médiateur ~
    ~ Lion ~

    Télépathie : C’est inné, pas besoin de concentration ou de mimique spéciale pour avoir accès aux pensées. Ce don est toujours actif quoiqu’il arrive, il entend tout, pour le meilleur et pour le pire.
    Grande résistance mentale : Son esprit est impénétrable, et invulnérable face à tous les sorts mentaux. Cependant, cela ne veut pas dire qu’il est saint…


    Travaille pour Ashley Nortlen : En tant que tueur à gage, en temps partiel. Il profite de son temps libre pour réparer ses pêchés avec quelques petites actions bienveillantes… Ou pas.


      Trouble. Il est une erreur. Il est l’indécision de la nature, une creature partagée entre deux consciences. Lorsqu’Axel lève le bras, ça peut-être pour deux raisons. Pour caresser le pelage d’un animal, ou bien pour frapper. Lorsqu’il sourit, ça peut-être une hypocrisie sournoise et détentrice d’une envie de meurtre, ou bien une incarnation de la sincérité. Il est extrêmement changeant et lunatique. Il se donne lui-même le surnom de l’Indécis. Il se voit comme ce trouble de l’espace, ce trou noir à la fois fragile et flou, cette donnée fausse comme le mirage qui cherche à égarer ceux qui le pénètrent. Il se voit comme l’illusion d’un monde au rire jaune, comme un blanc trop foncé pour être pur. Son esprit n’éprouve pas de remord face à son travail, mais son corps oui. Ses bras tremblent, son inconscient hurle de douleur et il s’effondre. Parfois encore, l’adrénaline le prend et il en veut encore. Alors il continue dans cette perversion pernicieuse qui l’accompagnera toute sa vie. Jusqu’à l’inévitable, puis il se repose, il réfléchit, il sourit et se croît être l’homme le plus heureux. Axel est atteint de graves troubles de la personnalité. Une schizophrénie dangereuse pour son âme et pour son entourage. Il perd le contrôle, il se morfond, il aime comme il déteste et il agit. Pour faire quoi ? Diverses choses, pour chérir comme pour souffrir. Il ne s’agit pas des deux cotés élémentaires et atypiques du bien et du mal qui s’affrontent en lui. Non, ces notions ne représentent rien à ses yeux. Il s’agit d’une lutte continuelle entre ses troubles, ses regrets et ce fragment de personnalité bien à lui qu’il voudrait élever au dessus de tout. Ce petit morceau de caractère qu’il aimerait pouvoir afficher sans cette folie, et qui pourrait enfin lui offrir une identité, SON identité.



      Le cui rest sa matière préférée. Étrange, surtout lorsqu’on sait qu’il n’en porte que rarement. Mais il aime cette texture à la fois solide, pliable, moite et tellement utile. Il aime sentir la sensation de chaleur et d’humidité lorsqu’il plie son bras, entendre les petits grincements du ‘tissu’ et garder l’impression que ses vêtements épousent toutes ses formes. Cette petite confidence à part, Axel possède trois styles de tenues. Il sort en chemises, cravate et d’une manière plutôt chic et propre. Il aime paraître ordonné et saint d’esprit, il aime plaire aux regards. Les moments de sport, sont les seules heures où il s’offre une tenue plus décontractée. Enfin, pour son travail il prend toujours soin de mettre un costume serré. Et si vous lui posez la question, sa réponse aussi vague que son regard sera : « Pour offrir une dernière belle image avant la mort… » Du haut de ses un mètre quatre-vingt-neuf, il possède également une musculature importante. Ses abdominaux d’acrobates se montrent à l’aide de veines sanguinolentes qui ressortent lorsqu’il perd le contrôle de lui-même ou lorsqu’il est en plein effort. Il a des épaules carrées mais ses muscles ne se voient réellement que s’il est nu. Il fait énormément de sport, plus pour se défouler que pour s’entretenir, cependant il s’agit quand même de sport…



      Son père biologique était un demi esprit du mal extrêmement proche des Silverman. À tel point qu’une rumeur court à son sujet, comme quoi cet homme aurait lancé l’idée de la séparation d’Union. Quant à sa mère, elle était quant à elle demi esprit du bien, femme presque sainte d’esprit et entourée d’une très nombreuse famille, dont Axel n’entendra probablement jamais parler. Il ignore totalement leur existence. Il possède des parents adoptifs, ou plutôt en possédait, et était fils unique. Le couple qui l’a recueilli était composé de bons sorciers, entourés d’oncles, de tantes et de cousins. Peut-être avaient-ils un rapport avec la mère biologique d’Axel ?



      Définition : « Schizophrénie » provient de « schizo » du grec « σχίζειν » (schizein) signifiant fractionnement et « φρήν » (phrèn) désignant l’esprit. C'est donc une « coupure de l'esprit », pas au sens d'une 'double personnalité' comme on l'entend parfois, mais au sens d'une perte de contact avec la réalité ou, d'un point de vue psychanalytique, d'un conflit entre le Moi et la réalité.
      Le garçon referma doucement le dictionnaire, l’air pensif. Pourquoi employer des termes aussi compliqués ? Il n’était pas fou, comme chacun de son espèce. Tous les enfants savaient que lorsqu’un adulte employait un jargon plus scientifique, les faits s’aggravaient… Mais lorsque la mère d’Axel pénétra dans la chambre pour offrir son plus beau sourire nerveux à son fils adoptif, ce dernier ne lui répondit pas. Que pouvait-il y faire ? Encore fallait-il qu’il comprenne et qu’il assimile toutes ces nouvelles. La seule chose qu’il avait réussi à retenir : il n’était pas un garçon normal. Mais allait-il terminer comme tous ces étranges enfants, dans cet établissement aux murs blancs et clos, aux fenêtres barrées et aux visages si mornes ? Non, il ne le voulait pas. Alors il se releva et enserra les hanches de la dame de ses petits bras avant d’enfouir sa bouille contre ses habits. Elle lui caressa les cheveux et il resta ainsi de longues minutes, faisant ce que tout petit de six ans faisait à sa mère lorsqu’il n’était pas bien. Elle le prit par la main et l’entraîna à sa suite dans les escaliers. Ils descendirent tous deux, et c’est d’une manière inquiète que le petit observa cet individu, grand, chauve, les yeux étonnement clairs et surmontés d’une paire de lunettes de vue rectangulaire. Cette manière de s’habiller, tout en vert, lui donnait l’air d’une asperge et c’était là la seule pensée qui rassurait l’enfant en sa compagnie. Lorsque le psychologue le regardait, c’était de manière joyeuse et rassurante. Mais l’enfant percevait chez lui toutes ces ondes négatives. Il le voyait au milieu d’un groupe d’enfants comme lui, il le voyait enfermé avec des professeurs du caractère… Mais Axel ne voulait pas quitter sa famille. Il ne disait rien, et il espérait toujours secrètement que cet homme ne fasse jamais part de ses pensées aux parents adoptifs. Tout petit déjà, notre perturbé cachait sa vraie nature pour ne pas aller en maison de correction, en asile, ou dans un autre centre pour enfants perdus comme lui.

      Tout avait commencé lorsque son père le surpris, dehors, en train de planter les griffes d’une patte de souris dans la gorge d’un pivert encore vivant. Il avait alors cinq ans, et eut droit à sa première rencontre avec le psychologue si imposant. Ce dernier décerna vite une solution, et Axel fut inscrit dans un sport de combat pour le défouler. Frapper des objets l’empêchait de s’en prendre à des créatures vivantes, et c’était vrai. Il commença donc son sport de combat à cet âge, et s’il avait entamé avec une heure par semaine, cela se transforma vite en deux heures tous les soirs afin de contenir toute sa folie et de ne la déverser que dans ce sport. C’était à la fois un sport de combat et de défense, où Axel se retrouvait avec des enfants hyper actifs ou perturbés comme lui. Là, il apprenait non seulement à se défendre contre les éventuels ennuis qu’il pouvait s’attirer, mais surtout à se contenir. Il y avait des séances de relaxation, et de techniques particulières. Ce sport fut l’évasion qui fit un bien fou à l’enfant, et qui l’empêcha d’exploser.

      Axel n’était jamais à l’aise lors de repas de famille. Il défiait du regard toutes ces paires d’yeux qui le scrutaient avec tendresse et curiosité. « Qu’il est sage ! » disait toujours la tante qui avait un mal fou à tenir en laisse ses deux rejetons farceurs. Mais la phrase qu’ils utilisaient à chaque fois, cette phrase qu’ils avaient masqué sous leurs propres mots parce qu’ils croyaient que l’enfant ne pourrait ainsi pas comprendre était : « Comment évolue l’état de la chose ? » qui voulait tout simplement dire « Est-il toujours perturbé ? ». Axel avait huit ans lorsqu’il commença à comprendre qu’ils parlaient de lui dans ce genre de cas mais peu importe. Il avait mal, et il noyait cette souffrance dans une grosse assiette de soupe. Il y rajoutait des morceaux de pains puis il contemplait les petits fragments de bosses qui flottaient à la surface et qu’il remuait avec sa cuillère. Cette vision lui donnait l’impression d’être en face de plusieurs personnes qui se noient dans un mélange d’huile, de feu et de sang. Et lorsqu’il touillait, c’est comme s’il poussait ces gens et inhaler davantage d’eaux, comme s’il les ramenait à la surface pour les replonger immédiatement et ainsi faire durer le plaisir. Et sous ces pensées si divines pour lui, le garçon ignorait ce que l’on disait sur lui.

      S’il y avait deux individus avec qui il s’entendait comme trois frères, c’était ses deux cousins préférés. Terriblement doués pour les bêtises, mais toujours partant pour proposer leur aide. Axel prenait modèle sur eux, et c’est ainsi qu’il a tenu durant si longtemps. Il recopiait leur manière d’agir, il ne se sentait pas comme étant de leur monde, mais faisait semblant de l’être. S’il les voyait aider une femme à décharger ses courses, alors il retenait cette leçon et proposait son aide à toutes les personnes âgées au détour d’un super marché. C’est grâce à eux qu’il se souvint des bonnes manières les plus élégantes. Avec eux, il était serviable. Seul, il était réservé. Un étrange paradoxe s’installait en lui au fur et à mesure qu’il grandissait. Il était doué pour les imiter, il réussissait à les comprendre et savait les reproduire à la perfection, comme s’il était de leur monde. Cependant il sentait que quelque chose clochait, et qu’une autre place l’attendait autre part, comme dans une autre vie. Pourtant, il avait toujours vécu avec eux… C’est du moins ce qui lui semblait. Cette idée, qu’on lui a imposée, perdait de son ampleur avec le temps. Il avait de plus en plus l’impression de ne pas être des leurs et qu’un secret l’entourait. Il fit quelques études dans plusieurs domaines. À dire vrai, il s’essaya dans plusieurs branches sans jamais trouver sa voie. À vingt-ans, il se rendit chez son psychologue, toujours le même, pour un rendez-vous quotidien. Axel l’écouta, comme toujours, puis fit semblant d’être normal. Il lui mentait depuis tout petit, depuis cette peur incessante qu’on l’éloigne de sa famille. Mentir devenait pour lui à la fois essentiel mais aussi ennuyant. Et tandis que le docteur l’incitait à exposer quelques éléments perturbants des dernières semaines d’Axel, ce dernier jouait machinalement avec un stylo. Il s’interrompit, comme submergé par la pensée de cette soupe aux croutons qu’il adorait étant petit. Puis, sans même s’en rendre compte, il commença à en parler. Il en vint à dévoiler tout ce qu’il s’imaginait dessus, et lorsqu’il eut terminé, il fixa le sol d’un regard vide. Le psychologue l’appela, mais le jeune homme ne pu lui répondre que de faire cesser les voix qu’il entendait. Le docteur se leva et l’esprit perturbé fit de même. Axel lança son stylo à la figure de l’homme avant de se mettre à hurler, lui reprochant de réveiller les voix endormies en lui. Qu’il lui fallait toujours du temps pour les faire taire… Axel le fixa, à moitié fou ou possédé. Il eut accès à de nouvelles pensées, et cette fois, le psychologue voulait recourir à des médicaments plus forts que ceux qu’il lui donnait. Non ! Assez ! Axel lui ordonna de ne pas lui en donner, en citant la marque qu’il avait réussi à capter de la tête de l’homme. Et sans attendre, il donna un violent coup de pied dans le fauteuil dans lequel il s’asseyait d’habitude. Lorsque le meuble claqua contre la porte, il secoua la tête dans tous les sens en poussant des gémissements graves. Il se retint d’abord et frappa le mur à coté de lui avec violence. Lorsqu’il sentit la douleur dans ses doigts et qu’il vit le sang sur sa main, il se retourna vers le psychologue et grimpa sur la table. Axel logea son pied dans le torse de l’homme et lui sauta dessus. Il le mit par terre sans aucun mal et l’allongea sur le ventre avant de le trainer jusqu’à la fenêtre. Là, il l’ouvrit et fit passer la moitié de la tête de l’homme dehors avant d’abattre avec force l’ouverture et il lui brisa la mâchoire. Il arracha le rideau pour bâillonner le docteur et le releva pour le plaquer contre le mur. Puis il lui murmura par quelques grognements fous : « Tu n’es qu’un morceau de pain dans une soupe trop épaisse… » Axel empoigna le psychologue par les cheveux et lui fracassa la tête contre le mur jusqu’à l’épuisement. Il le lâcha ensuite et le regarda s’écrouler, l’autre paraissait mort. L’esprit perturbé sortit du cabinet et roula jusqu’à chez lui. Il n’eut pas le temps d’atteindre la salle de bain que ses parents le surprirent avec du sang sur les mains. Ils pensèrent aussitôt que leur fils avait tué un animal. Ce dernier n’étant pas tout à faire sorti de sa torpeur, il leur cria de ne pas l’approcher et de le laisser tranquille. Mais sa mère s’avança quand même, imprudente. Le médiateur la frappa du poing au visage en y mettant tant de force qu’elle tomba à la renverse. Il pratiquait toujours de son sport. Et plutôt que de le calmer, plutôt que de l’apaiser, voilà que ce sport le rendait dangereux comme une bombe à retardement. Il courut dans la salle de bain, poursuivi par son père. Il jeta à ce dernier tous les objets qu’il trouvait pour l’empêcher de le suivre mais rien n’y fit. Il sentit la poigne de l’homme s’agripper à son bras et se retourna brusquement. Axel repoussa de ses deux mains son père et donna un coup de poings dans le miroir. La main toujours en sang, il prit un gros morceau de verre et entailla la joue de son poursuivant. Ce dernier cessa enfin de le suivre et resta immobile en criant à son fils de se calmer. Axel brandissait son arme de fortune comme menace, tandis que son autre main passait sous le robinet d’eau chaude. Une phrase revenait très souvent sur ses lèvres « Soit fier de moi avant de mourir…» Il lâcha le bout de miroir et prit le savon pour se laver les mains. Une pensée l’obsédait à ce moment, et sans le savoir pourquoi, il n’arrêtait pas de se dire qu’il devait à tout prix se faire beau, être élégant et classe pour ce meurtre ! Il devait rattraper son péché en se rinçant les mains et en faisant de bonnes choses ! Mais son père l’empêcha de se nettoyer en voulant le maîtriser. Axel se débattit avec force et en grognant. Il réussit facilement à se libérer de l’étreinte et poussa violemment son père qui tomba à la renverse dans la baignoire. Axel sauta par-dessus et lui mit la tête sous le robinet. Il maîtrisa ses mains sans mal et alluma l’eau. Il ouvrit le robinet au maximum et sur l’eau chaude en maintenant la tête de son père dessous. Bizarrement, les cris de douleur de ce dernier ne l’effrayèrent pas. Au contraire, il ne les percevait pas ainsi. Il avait l’impression que le visage de cet homme l’encourageait à continuer. Qu’il lui disait « Encore, vas y, tu te défoule, tu iras mieux après, et tu seras peut-être guéri ! ». Alors il émit un léger rire heureux et garda la position tandis que son père se noyait sous les brulures de l’eau. La victime eut du mal à respirer, sentant ses poumons se remplir d’eau. Au bout d’un moment il cessa de bouger. Axel le tint encore quelques instants, ne comprenant pas tout de suite pourquoi il ne bougeait plus. Puis il l’observa, effaré, avant de ramener la main qui lui avait tenu le visage. Cette dernière était toute boursouflée par les coupures et les brulures. Mais la douleur était minime face à ce qu’il ressentait en ce moment. Le jeune homme haletait, et un terrible désir s’emparait de lui. Il ne put savourer plus longtemps ce parfum de bien être car le cri de sa mère l’interrompit. Elle hurlait comme une folle en voyant son fils assis sur le cadavre de son père dans la baignoire. Axel ne lui laissa pas le temps de s’enfuir. Il la rattrapa et l’attrapa par les cheveux avec sa main blessée. Il la souleva et la posa tout en douceur sur le canapé, sur le ventre. Il tint fermement ses poignets d’une seule main dans son dos puis s’allongea sur elle. L’indécis passa une main sous la gorge de sa mère adoptive et commença à serrer très légèrement. Ses lèvres laissaient quant à elles sortir tout ce qu’il avait sur le cœur. Et sur une voix chamboulée et sincère, il débitait toutes ces paroles les yeux fermés :
      « Je ne te remercierais jamais assez pour tout cet amour, tu resteras toujours la mère parfaite à mes yeux. J’aime quand tu me regarde, lorsque tu prends soin de moi. J’aime ton odeur, et j’aime tellement me blottir entre tes bras lorsque ça va mal… Tu es belle maman, et je t’aime plus que toutes les autres femmes, je ne voudrais jamais te perdre, jamais, je t’aime plus que tout… »
      Il s’interrompit, étonné de ne pas entendre de réponse. Il rouvrit les yeux et regarda la chevelure de sa mère en dessous de lui. Elle était… inerte. Il se redressa et lâcha sa gorge. Il finit par se relever et se posta en face du canapé pour la contempler. Il recula encore, se cogna contre la table et bascula en arrière. Il tomba sur le tapis et continua d’observer le cadavre de sa mère avec une expression d’incrédulité. Il devait avoir mal ! Il devait être triste ! Bon sang mais pourquoi était-il aussi passif ? Pourquoi n’hurlait-il pas de douleur ? Pourquoi ne pleurait-il pas à chaudes larmes ? Axel déglutit péniblement. Il se releva avec difficulté et, d’un pas chancelant, revint à la salle de bain. Armé d’un gant, d’un savon et de la baignoire, il mit les corps de ses parents à nus et les lava complètement. Ensuite, il les souleva et les amena jusque dans leur chambre. Là, il les habilla avec leurs habits les plus chics et les plus beaux. Axel posa ensuite les deux corps sur leur lit. Il les admira avec un petit sourire, se disant qu’il était terriblement fier de ses parents et de cette prestance qu’ils émettaient. Il rangea toute la chambre, comme par obligation. Puis il alluma deux bâtons d’encens de chaque coté du lit. Il ferma la porte derrière et commença à nettoyer et à ranger toute la maison également. Ensuite, il parti se doucher, s’habilla avec ses habits les plus chics aussi puis fit son sac. Armé de quelques affaires et quelques sous, il n’osa pas tout prendre dans la tirelire de ses parents car il voulait leur laisser quand même de l’argent pour qu’ils ne ‘meurent pas de faim’. Il sortit de la maison, prit une grande bouffée d’air et quitta sa ville.

      On le retrouva quelques années plus tard à San Francisco, après avoir passé son enfance à New York. Axel vit maintenant dans une maison assez simple avec un jardin. Il vit seul, et possède de bons moyens grâce à un travail qui paye bien. Ashley l’a recruté après sa fuite, et cela fait quatre ans qu’il travaille comme homme de main pour elle, ou plutôt comme tueur à gage. Il réussit avec un sang froid exemplaire à séparer le professionnalisme de ses émotions. Il n’a aucun mal à s’exécuter, et obéit promptement. Lui donner des ordres lui donne l’impression d’exister et de vivre pour quelque chose. Il se cherche toujours, avec beaucoup de peine. D’ailleurs, lorsqu’il croise une personne âgée près d’un super marché ou d’une grande surface, il est le premier à l’aider à faire ses courses. Il ignore ce que sont devenus ses cousins. Peut-être sont-ils le seul regret qu’il puisse réussir à éprouver. Il continue toujours le sport, ayant un abonnement dans un complexe sportif et y passant tous les jours pour s'offrir quelques instants de liberté et évacuer une bonne partie de la pression en lui.

    Autres particularités:
    Il est allergique aux noix, où plutôt à leur rugosité. En avaler peut le faire gravement suffoquer et seul un grand verre d’eau ou bien un moyen de se faire vomir est efficace contre cette crise d’étouffement. Il possède également un tatouage sur son épaule gauche représentant un regard sévère et sombre. Il lui arrive de l’observer plusieurs minutes dans une glace lorsqu’il réfléchit. Ce pourrait être pour lui une forme plus imaginée des personnalités enfouies en lui, ou bien toute la culpabilité que sa conscience lui envoie à travers ce regard.

    Code du règlement:
    Spoiler:


Dernière édition par Axel A. Blown le Sam 11 Sep - 14:03, édité 8 fois
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Ô Ratigan ! Vide
MessageSujet: Re: Ô Ratigan ! Ô Ratigan ! EmptyVen 10 Sep - 20:43

Heu.... Salut toi :D
Donc voilà, tu peux être médiateur comme demandé. Sache que j'ai un très grand coeur de te laisser être le seul inconnu à en être un :P

:flower:

Continue bien ta présentation, c'est bien partit
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Ô Ratigan ! Vide
MessageSujet: Re: Ô Ratigan ! Ô Ratigan ! EmptySam 11 Sep - 7:38

Heum alors tu es Owen ?

*a du mal*

Sinon merci =D
Je vais pouvoir faire ma fiche aujourd'hui.
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Ô Ratigan ! Vide
MessageSujet: Re: Ô Ratigan ! Ô Ratigan ! EmptySam 11 Sep - 9:02

Oui, c'est bien Owen. ;)

GNIIIH c'est une telle joie de t'avoir ici!!!! :crazy:

Jason, ton kit!!! Ton kit!!! Ton kit!!!
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MessageSujet: Re: Ô Ratigan ! Ô Ratigan ! EmptySam 11 Sep - 10:40

Ça fait plaisir d'être accueilli comme ça ! =D

Sinon, j'ai terminé ma fiiiiiiiiiiiiiiiiiiiche !
Vu que vous aimez autant que moi la psychopathie je me suis pas gêné pour y mettre la dose.
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MessageSujet: Re: Ô Ratigan ! Ô Ratigan ! EmptySam 11 Sep - 13:39

Mais voyons Axel, nous, psychopathes?
Voit comment James n’est pas bipolaire, Drake pas hypocondiaque. De plus, Ashley est très saine d’esprit et Lea aucunement manipulatrice. D’ailleurs, Malcolm n’est pas fou du tout.
Bon d’accord, la majeure partie des personnages ont un certain problème, je le concède.

Bien alors, c’est assez dur de rajouter quelque chose suite à une fiche bien plus développées que les miennes ein. Pour ma part, je te VALIDE (et si James a quelque chose à dire, qu’il vienne m’en parler et ensuite, je te bannierai Axel A.Brown AHAHAHAHAHAHAhahahaha (rire de fou ein)… bon okay je me calme).
La seule petite chose, on est à San Francisco et pas à New-York. Alors si tu veux habiter là-bas, pas de problèmes, mais précise que tu fais plusieurs heures d'avion assez régulièrement? :P

Tu peux aller créer ta fiche de lien ICI .

La demande d’habitation c’est par .

Si tu veux commencer à faire du Rp avec quelqu’un sans savoir qui, c’est ICI .


Je t’ai ajouté à la liste des emplois
Et à ton grand bonheur, tu peux commencer à FLOODER!!!!


Dernière édition par Jason Badley le Sam 11 Sep - 14:28, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Ô Ratigan ! Ô Ratigan ! EmptySam 11 Sep - 14:02

Je me suis trompé de ville, c'est son enfance New York c'est vrai =P
Je modifie ça.

Merci beaucoup Owi !
Mais héé, le flood c'est pas ma raison de vivre, hein !
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MessageSujet: Re: Ô Ratigan ! Ô Ratigan ! EmptySam 11 Sep - 14:36

Mais quelle fiche merveilleuse!!! Je l'ai dévorée!!! *Aime les sadiques fous*
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MessageSujet: Re: Ô Ratigan ! Ô Ratigan ! EmptySam 11 Sep - 14:52

Hoo merci suspect
J'ai passé une bonne partie de l'après midi dessus.
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MessageSujet: Re: Ô Ratigan ! Ô Ratigan ! Empty

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