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Laissez moi vous peindre

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Invité

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Invité


Laissez moi vous peindre  Vide
MessageSujet: Laissez moi vous peindre Laissez moi vous peindre  EmptyMar 9 Nov - 20:24



    Laissez moi vous peindre  101110031257602003
    feat Milo Ventimiglia
    © Absent Minded




    Laissez moi vous peindre  101110031350949350
    © Baby doll





    Laissez moi vous peindre  091023100327783245 Jake Tyler Skinner Laissez moi vous peindre  091023100327783245



    Type ♣ Demi esprit du bien. Des souvenirs de son enfance à ce propos commencent à lui revenir depuis l'ouverture du temple.
    Famille ♦ Fils de deux demi-esprits du bien. Sa mère est morte lorsqu'il était petit, accusée de traîtrise pour avoir passé trop de temps avec l'ennemi. Quant à son père, Jake s'en sépara lorsqu'il était enfant et n'a plus de souvenir de lui normalement, bien que sa mémoire commence à revenir depuis l'ouverture du temple. Le père biologique est évidemment mort dans cette soi-disant 'explosion', lorsque tous les descendants demi se sont retrouvés orphelins. Il possède des parents adoptifs. Ce qu'il ignore en revanche, c'est qu'il a aussi un demi grand frère du nom de Malcolm Gilian.
    Lieu de naissance ♥ San Francisco
    Âge ♣ 19 ans
    Habitudes & autres particularités ♠ Dessiner, dessiner, dessiner... mais aussi faire la cuisine ! Le dessin est une réelle passion chez lui. Il fait un travail à mi-temps en temps que serveur au restaurant Blind Date, et étudie en même temps dans une école d'art.
    Pouvoirs ♠ Une frénésie artistique. Il s'agit d'une sorte de transe lorsqu'il dessine et qui anime ses mains d'une énergie vive et coriace, pouvant soit donner lieu à un pouvoir de foudre avant ou après (si on touche ses mains ou s'il les secoue), soit il déverse cette énergie dans son œuvre achevée et lui donne ainsi vie.
    La Magie ♣ Il connaît l'existence de la magie car ses parents adoptifs furent sorcier. Des souvenirs quant à son état de demi esprit commencent à revenir, très lentement et de manière assez maladroite depuis l'ouverture du temple.








Passé
Présent



C’est l’histoire
De la vie


    Histoire : « Ils ne m’ont pas tout pris. À défaut de m’avoir privé de ce que j’avais dans la tête, il me reste cependant mon talent, et mes esquisses. J’avais sept ans, lorsque je suis arrivé dans cette famille d’accueil du nom de Skinner. Mon histoire commence ici, car j’ignore totalement qui j’étais avant. Aucun souvenir, vous dis-je. Seuls quelques images qui reviennent de temps à autre dans mon sommeil, tels des flashs flous ou trop brefs pour me permettre d’analyser leur sens. Peut-être étais-je trop jeune pour que tout me revienne, ou peut-être est-ce trop difficile pour mon esprit de se rappeler, je ne sais pas. Cependant je savais une chose de moi : j’avais déjà commencé à pratiquer l’art du dessin depuis tout petit. En pénétrant dans cette maison, dans une pleine campagne de 1998, puis en découvrant ma nouvelle chambre, mes nouveaux parents jugèrent bons de me laisser seul quelques instants pour que j’assimile tout ce qu’ils m’avaient dit. Et tandis que je me ressassais leurs paroles dans ma tête, comme quoi j’avais été victime d’une explosion, que j’étais devenu amnésique, que mes parents y étaient morts et que j’allais maintenant vivre ici, j’ouvrais mes affaires. Je tombais sur une pochette de dessins, et j’y remarquais quelques grossiers portraits faits par mes soins, que l’on avait probablement oublié de me retirer. J’ignorais si c’était volontaire ou non, et ce n’était pas mon principal soucis. J’ai passé une bonne partie de mon enfance à me demander qui étaient les deux individus que j’avais représenté l’un à coté de l’autre, se tenant la main. Ils étaient peut-être mes vrais parents, c’est la seule conclusion que j’avais alors. Un autre dessin montrait l’homme qui devait être mon père, seul. Un autre encore représentait un petit garçon, et j’ai toujours pensé qu’il s’agissait de moi mais là encore, je n’étais même pas sûr. Dès mon arrivée dans cette ferme, j’ai caché ces étranges indices et je n’y ai plus touché durant ce qu’il restait de mon enfance.

    J’ai vécu dans une sorte de famille de sorciers, plutôt liés à la nature ou plus précisément l’agriculture, puisque c’était le métier de mon père. Ils avaient une fille que je considérais comme ma grande sœur, avec trois années de plus que moi. Enfin, lorsque je vous dis fille, je devrais plutôt énoncer une sorte de garçon manqué qui devait probablement me surpasser en matière de virilité, c’est pour vous dire ! Elle me réveillait, tôt le matin, et nous allions traire les vaches ou ramasser des œufs de poules, car notre mère était fermière. Je me suis rapidement habitué à l’odeur du foin et je privilégiais ces moments où je faisais du cheval avec Ariane, ma sœur. Elle était totalement accroc à ces animaux et à l’équitation. C’est elle qui m’a appris toutes les choses pratiques de la vie, tellement plus que nos propres parents ! C’est probablement la raison pour laquelle vous trouverez d’innombrables portraits d’elle dans ma chambre. D’ailleurs, nos chambres étaient voisines et souvent, le soir, elle venait me chercher pour que nous allions jouer dehors dans le dos de nos parents. Les jours où nous n’avions pas école, nous passions toujours du temps ensemble et parfois, une jeune fille qu’elle connaissait depuis toute petite venait nous rejoindre. Durant mon adolescence, Ariane faisait croire à notre mère qu’il s’agissait de sa meilleure amie. Mais moi, j’ai toujours su qu’il y avait autre chose entre elles. Voici donc l’environnement où j’ai grandi. Où la nourriture était toujours préparée chez nous, bien consistante et terriblement délicieuse. Où même enfant, je ne rechignais pas à manger la soupe. Dans un monde de lèves-tôt à cause des cris animaliers qui retentissent dès les premiers rayons du soleil.

    Parfois, il m’arrivait d’enflammer une partie d’un des champs de mon père sans le vouloir. Lorsque je conduisais un tracteur, il se pouvait que le contact de ma main sur le levier de commande principal émette une petite étincelle qui se répercutait sur la carrosserie jusqu’à se conduire sur des épis. Et l’été, avec cette chaleur sèche, il ne fallait pas beaucoup pour que le feu se déclare. Cette faculté se déclenche toujours par mes mains, et a beaucoup plus de chances d’intervenir après que j’ai dessiné. J’ignore pourquoi, mais lorsque je suis en pleine activité artistique, mes doigts frétillent, s’accélèrent, je rentre toujours dans une sorte de transe, parfois même je ne regarde pas ce que je fais. – Je suis ambidextre, et utilise mes deux mains pour le dessin - Et Ariane s’est toujours pris des coups de jus en voulant me faire arrêter de dessiner, pour me taquiner ou pour jouer avec elle. C’est comme si une énergie électrique faisait vivre mes mains. Je n’avais jamais mal après avoir dessiné, je pouvais y rester des heures sans aucune courbature aux bras. Parfois, lorsque j’y restais longtemps, il m’arrivait d’apercevoir quelques étincelles parcourir les interstices de mes doigts. Je m’en servais généralement pour deux choses. Soit, un petit éclair sortait de mes mains une fois que j’avais terminé, afin d’atténuer l’énergie, et comme je me servais beaucoup des champs de mon père comme modèle, il m’arrivait de déclarer des débuts d’incendie sans le vouloir. Une fois, j’ai même brûlé tout un champ et j’y aurais péri, si Ariane n’était pas venu me chercher en cheval pour me sortir des flammes. Je m’en voulais toujours après un tel évènement parce que j’y étais à la fois pour quelque chose, mais je ne désirais tellement pas causer tant de dégâts… Soit ce petit éclair sortait de mes doigts pour foudroyer le papier que je venais de créer. L’effet était tout autre. La feuille brûlait, mais je voyais ce que j’avais dessiné prendre vie devant mes yeux. Que ce soit un animal, un objet… Il apparaissait devant moi, de la manière la plus simple, la plus discrète, et totalement identique à ce que j’avais créé sur mon papier. Je dessinais alors des tracteurs pour mon père, des animaux et des instruments pour ma mère. C’était en quelque sorte une manière pour moi de me rattraper de ma maladresse.

    Lorsque j’avais seize ans, alors que je fréquentais un lycée, je rentrais à pied car j’avais raté le bus scolaire. Il n’y en avait qu’un seul car là où j’habitais, c’était totalement perdu. Mes parents ne pouvaient pas venir me chercher, et Ariane dormait chez sa « meilleure amie ». Ce n’était pas la première fois que je rentrais à pied. Je ratais toujours mon bus pour la même raison : Je trainais en étude à terminer un dessin. J’avais énormément de mal à laisser un dessin en plan, à m’arrêter avant qu’il ne soit terminé. Je ne suis pas long pour créer quelque chose, mais je n’avais pas pu m’empêcher de le commencer alors que je m’étais promis de partir deux minutes plus tard. Je reproduisais le visage de ma sœur d’après ma mémoire, et avec une expression particulière de fausse dure qu’elle aimait bien adopter avec moi. Cette expression faciale qui me fait toujours rire. Je n’ai pas réussi à m’arrêter, j’étais trop inspiré et mes mains griffonnaient, bougeaient tellement vite que j’avais du mal à suivre le mouvement de mes doigts, parfois. Je m’améliorais de manière exceptionnelle et dans l’option art plastique que j’avais prise, j’avais les notes maximales. J’avais déjà commencé à dessiner pour certaines bandes dessinées et des gens me contactaient pour faire la couverture de leur livre, ou pour me demander quelques conseils en matière de design. J’avais mon propre site internet où je scannais mes dessins au lycée et où j’offrais mes services. Pour en revenir à notre jour spécial, mes mains frétillaient encore lorsque j’eus terminé. Après avoir rangé mon œuvre dans sa pochette, je mis mes mains dans mes poches car je sentais l’énergie qui en découlait. Je ne voulais surtout pas que des étincelles jaillissent devant les surveillants. Je n’eus même pas à courir mon rater mon bus car il était déjà parti lorsque je sortis. J’entamais alors la marche vers mon village, lorsqu’une voix m’interpella, celle d’un camarade redoublant de ma classe. Il avait quoi… dix neuf ans ? Disons qu’il avait tenté plusieurs options et plusieurs filières avant de tomber dans la mienne. Je l’aimais bien malgré les rumeurs perverses qui circulaient sur lui. Mais pour moi, si le lycée l’a accueilli, c’est qu’il ne devait pas être méchant. Il me proposa de m’accompagner durant un bout de chemin, et j’acceptais avec plaisir tout en gardant bien mes mains dans les poches car mes doigts continuaient de remuer malgré eux. Au fur et à mesure que nous marchions, notre conversation dériva lentement sur ma sœur et son orientation sexuelle. J’ignorais comment il était au courant, bien que ce ne soit pas un secret dans notre lycée, mais il m’affirma qu’il n’avait absolument rien contre les homosexuels. Il dut prendre mon sourire gêné pour une invitation, car je sentis sa main se faufiler derrière ma nuque pour se poser sur mon épaule. Il commença par me poser quelques questions et, troublé par ce geste, mes réponses furent brèves et maladroites. J’avais peur de comprendre ses désirs, d’autant plus qu’ils n’étaient absolument pas partagés. Au bout d’un moment il m’arrêta, puis il se pencha pour m’embrasser. Je me reculais donc en lui faisant comprendre qu’il se trompait sur mon compte. Je m’attendais à le voir déçu, et à ce qu’il s’en aille ou bien qu’il s’excuse. Au lieu de cela, il fit un pas en avant et m’agrippa le bras avant de me forcer à l’embrasser. Ne voulant toujours pas sortir les mains de mes poches, je me contentais de me secouer et de me débattre pour le libérer de son étreinte. Il tira brusquement sur mon bras et obligea ma main droite à sortir. J’eus peur qu’il me fasse du mal et je sortis l’autre également pour les placer devant mon visage, car il levait le poing pour me frapper. Je reçus un coup dans l’estomac et tandis que je me pliais en deux vers l’avant, mes deux mains se rattrapèrent au niveau de son torse à lui. En le touchant, je sentis une décharge sortir de mes doigts et parcourir son corps à lui. Il tomba à la renverse et fut victime de quelques soubresauts encore avant de devenir totalement inerte.

    Je le regardais, stupéfait et horrifié, tandis que mes mains redevenaient parfaitement calmes et immobiles. Je me précipitais sur le corps de ce garçon pour le secouer, je tentais même un massage cardiaque comme j’avais appris dans un cours spécial du lycée. Mais rien n’y fit, son cœur ne battait plus. Paniqué, je téléphonais à ma sœur pour la supplier de me rejoindre, ce qu’elle fit un quart d’heure plus tard. Elle me calma et pris les choses en main. Armée d’une pelle, elle enterra le corps de cet homme devant mes yeux puis me fit promettre de n’en parler à personne, et ce pour ma propre sécurité. Je compris plus tard qu’elle ne voulait pas que nos parents sachent que cette malédiction foudroyante était beaucoup plus dangereuse qu’il n’y paraissait. Qu’auraient-ils faits ? De plus, elle croyait en mon innocence et lorsque je lui jurais que je n’avais pas voulu lui faire du mal, elle n’insista pas. Les années passèrent. J’avais ce meurtre sur sa conscience, mais je ne dessinais pratiquement plus en lieu publique pour minimiser les accidents de ce genre.

    Aujourd’hui, j’entame ma deuxième année en école d’art à San Francisco. Car j’y suis revenu vivre avec ma sœur. Cette dernière vit avec sa copine – toujours la même en passant – tandis que je me suis trouvé un petit appartement dans le quartier du port de San Francisco, car la mère et les bateaux m’inspirent pour mon art. Cela fait trois ans que je fais de la natation pour ne pas rouiller, car je ne pratique plus les travaux habituels de la ferme et de l’agriculture. Je dessine plus que jamais, j’y passe plus de temps que je ne vois du monde – quelque chose que me reproche Ariane, d’ailleurs. D’ailleurs, je me suis créé un chien et un chat qui, par bonheur, arrivent à cohabiter ensemble. Mon talent m’a dégoté une bourse d’étude, afin que le pauvre que je suis puisse continuer d’apprendre dans cette école de riche. J’ai également un travail à coté, je suis serveur dans un restaurant du nom de Blind Date, à temps partiel, afin de payer mon loyer et mes dépenses en matériel artistique et en nourriture (quoique je triche parfois et me dessine ce dont j’ai besoin…) ainsi que mes séances de natation. Je suis comme qui dirait sur la sellette au niveau financier, ayant du mal à payer mon loyer tous les mois… mais je préférerais vivre dans la rue que d’arrêter mes études qui me passionnent presque autant que le dessin. Pour gagner un peu d'argent, il m'arrive d'aller chez des particuliers qui me contactent pour faire des portraits. Certains même osent se mettre à nu, car la qualité artistique a cette magnifique particularité de transformer le vulgaire en beauté raffinée. Comme je le précisais au début, quelques flashs m’envahissent depuis un certain temps, me perturbant involontairement. Il m’arrive de voir les trois visages dont j’ai gardé les dessins, et qui datent d’avant mon arrivée dans ma famille adoptive. Mais le visage du garçon, j’ignore pourquoi je continue de le voir, n’est-ce pas moi ? »


    Caractère mental & physique : Premier détail physique qui saute aux yeux, Jake n’est pas très grand. Et encore moins imposant, du haut de ses un mètre soixante dix. Fin comme un gringalet, ce n’est pas lui qui gagnera une bagarre de rue s’il y a. Cela dit il s’en fiche, puisqu’il n’aime pas la violence, et il n’est pas du genre à s’attirer des ennuis. Du moins, pas volontairement. Ce jeune homme tout juste formé passe plus de temps immobile qu’à bouger. Sa propre passion lui demandant concentration et stabilité, même s’il parvient à dessiner en marchant, le seul sport qu’il pratique de temps en temps est la natation. L’eau lui donne de l’inspiration, tout comme un temps orageux. Il est toujours accompagné d’une petite pochette de feuilles vierges et de crayons à encre noire et fine. Même lorsqu’il ne sort que pour acheter une baguette de pain, il a ses accessoires avec lui dans une petite besace accrochée sur son épaule ou en bandoulière. On ne sait jamais, des fois qu’il voit quelque chose qui lui donne une soudaine inspiration, qu’il entre en transe et qu’il s’arrête en pleine rue pour dessiner et ne pas perdre le fil. Niveau caractère, Jake est un garçon extrêmement gentil et souriant, sauf lorsqu’il dessine. Il a horreur d’être déranger en pleine activité artistique et, généralement, il ne fait pas attention à ce qui l’entoure. Il est travailleur et sérieux, n’ayant pas vraiment le choix car sa situation financière est au plus bas. S’il ralentit la cadence, il risque de se retrouver très vite à la rue et il ne tient pas à abandonner ses études. Ce dessinateur hors pair est toujours insatisfait de ses œuvres d’arts. Il trouve toujours quelque chose à refaire et à remodifier, toujours une critique sur ce qu’il fait, bien qu’il n’en parle pas souvent avec d’autres personnes. Le demi-esprit n’est pas le garçon le plus courageux qui soit. Il fait marcher sa tête avant sa fougue et se montre rarement impulsif. S’il peut fuir sans conséquence, il fuira. Si les ennuis ne concernent pas seulement lui, il réfléchira à une solution qui ne le mettra pas en danger, ni lui, ni la personne avec lui. Il est à la fois solitaire avec son art, mais aussi très apprécié par des fans. Car Jake a déjà lancé quelques bandes dessinées, peint des couvertures de livres de nouveaux auteurs et dessiné pour des entreprises qui apprécient beaucoup son talent surnaturel pour le dessin. Il peint, dessine à l’aquarelle, à l’encre ou au crayon de papier, son esprit est tout ce qu’il y a de plus créatif et il possède une imagination débordante. Il lui est déjà arrivé de faire des portraits de tout genre. De se rendre chez des individus et de les dessiner afin de gagner un peu d’argent, que ce soit en reproduisant un modèle nu ou un simple visage, à la peinture ou au crayon. Il le fait encore aujourd’hui le week-end, disponible pour toutes les personnes qui souhaitent avoir un portrait chez eux. Pour savoir si une personne lui plaît c’est bien simple, il vous suffit de chercher dans ses dossiers pour voir s’il a dessiné cette personne ou non. Car Jake aime reproduire par caricature ou par souvenir les individus qui lui plaisent ou qui lui ont plu, les personnes avec qui il s’entend bien généralement.


Relations :

Spoiler:



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Pseudo : Drakylla :)
Est-ce un post vacant ? : Nop
Comment avez-vous connu le forum ? : Il m'est apparu dans mes rêves *PAF*
Comment trouvez-vous ce forum ? : Ignoble, inintéressant et totalement ridicule. =D
Fréquence de connexion : boarrf...
Code du règlement : Validé par le préféré de Jason



Dernière édition par Jake T. Skinner le Sam 13 Nov - 7:52, édité 20 fois
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MessageSujet: Re: Laissez moi vous peindre Laissez moi vous peindre  EmptyMar 9 Nov - 23:15

Soudoyer James?? MAIS CHUT!!!!!!! Jason doit pas savoir que je me laisse séduire par les belles paroles des membres! Il va être jaloux.

*Attend la suite avec impatience*
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MessageSujet: Re: Laissez moi vous peindre Laissez moi vous peindre  EmptyMer 10 Nov - 4:47

Ce ne sont pas mes belles paroles, c'est mon charme naturel qui va te convaincre, mwahahahahaha !
Bon j'attendrais de pouvoir te parler avant de continuer ma fiche. (Parce que j'ai encore changé d'avis sur mon personnage)
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MessageSujet: Re: Laissez moi vous peindre Laissez moi vous peindre  EmptyMer 10 Nov - 7:57

*Reconnait le mot BLOUP sur son avatar*
MAIS ÇA VA PAS LA TÊTE!?
Il est à moi ce mot....
mais bon, je te le prête

Soudoyer James? Je peux savoir James? ou Adam XD
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MessageSujet: Re: Laissez moi vous peindre Laissez moi vous peindre  EmptyMer 10 Nov - 8:17

Tu n'en sauras rien. *Air buté*
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MessageSujet: Re: Laissez moi vous peindre Laissez moi vous peindre  EmptyMer 10 Nov - 10:40

C'pas moi qui ait fait l'avatar donc j'ai droit :)

Je fais ma fiche dès que je me suis arrangé avec James >_>

Edit : J'ai FINIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!

Juste une dernière question : Est-ce que Jake sait qu'il est un esprit, où tout ce qu'il sait c'est que ses vrais parents sont morts ? Car j'ai pas précisé qu'il savait exactement ce qu'il était, juste que quelques bribes de souvenirs lui revenaient en mémoire.
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MessageSujet: Re: Laissez moi vous peindre Laissez moi vous peindre  EmptyMer 10 Nov - 12:04

Wahooouh :D Mais quelle fiche!!
Donc je te valide. ;)
Veux-tu un rang?

De ce que j'ai lu, tu as un appartement dans Fisherman, et je te mets étudiant en arts + serveur au Blind Date. Donc... allons-y. :D
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MessageSujet: Re: Laissez moi vous peindre Laissez moi vous peindre  EmptyMer 10 Nov - 12:11

Youhouuuuu !
Merci beaucoup !
Oui j'aimerais beaucoup un rang, est-ce qu'il serait possible de me mettre :

Code:
<i> Le gentil dessinateur</i>

Je te remercie =D
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