Si tu m'as pas frappé, je comprends pas pourquoi j'ai pas continué.

Je te l'ai dit, tu t'es endormi quand je te tenais.

*Pourvu qu'il ne s'en souvienne jamais*

Pourtant...j'ai d'autres souvenirs qui me reviennent qui ressemblent pas à ça.

*merde*

T'étais pas vraiment dans ton état normal donc je doute que tu ai ressenti la même chose que moi de la situation.

T'as ressenti quoi?

Assez de colère pour t'empêcher de m'embrasser une seconde fois.

*Gnnnnnn.... Ne craque pas*

Et pourquoi tu as essayé de me mentir?

À propos de quoi ?

T'as dit que je t'avais embrassé une fois et que je m'étais endormi ensuite. C'est faux.

Qu'est-ce que t'en sais ?

*Le fixe en espérant qu'il ne se souvienne de rien*

*S'embrouille lui même*

Axel.

*Le regarde, se tait et se concentre sur sa tasse de café qu'il termine avant de se resservir encore une fois u_u*

Tu me dis la vérité ou je te la fais cracher de force?

*Commence à boire sans vraiment se rendre compte que c'est sa troisième tasse*
Comment tu comptes t'y prendre ? J'ai plus rien à dire.

Tu sais très bien comment je compte m'y prendre. Mon type de violence.

*Se lève, la tasse en main, et lui tourne le dos*
Et tu sais très bien comment je vais réagir.

Et tu sais très bien que je vais recommencer.

On va jouer à ça encore longtemps? Ou te me dis pourquoi t'as pas envie de parler de mon comportement probablement très répréhensible?

J'ai pas envie d'en parler, c'est tout, et tu ferais mieux d'oublier ça.

*buté*

Je fais rarement ce qui est mieux.

*N'a même pas reboutonné sa chemise*

Donc, si tu n'en parles pas, j'ai le droit de m'imaginer ce que je veux.

Alors imagine toi ce que tu veux, ça ne change rien à ce que j'ai dit.

*Finit sa tasse et garde le dos tourné pour fixer la fenêtre*

D'accord. Alors maintenant je suis persuadé que tu as détaché ma chemise pour profiter du moi bourré sans défense. T'aurais bien couché avec moi, mais je me suis endormi alors que tu m'embrassais.

*pousse un petit rire grinçant*

Genre tu vas croire ça, alors que t'es persuadé que si tu m'approche, je deviens violent.

*Se retourne*

Crois le si tu veux, même si tu sais bien que c'est pas le cas, et que ma version des faits est déjà plus plausible que la tienne.

Non, plus j'y pense, plus ça colle. Bourré, je représente aucun danger, alors t'en as profité.

Si c'était le cas, le fait que tu t'endormes m'aurait pas empêché de continuer.

Justement. Rien me dit que t'as rien fait pendant que je dormais.